L’immobilier sans vis-à-vis valorise les biens de 5 à 20 % au-dessus des prix du marché.
Devenus des éléments essentiels et déclencheurs d’un achat, l’extérieur et la vue font grimper le prix des habitations en milieu urbain. Aujourd’hui très recherchés, les biens avec vues dégagées se vendent 5 à 20 % au-dessus des prix du marché selon les critères de vues. Aujourd’hui, les biens avec vues dégagées représentent 20% à 30% du marché immobilier suivant les agglomérations.
L’immobilier sans vis-à-vis apporte aux particuliers son expertise pour dénicher ces biens rares devenus, suite à la pandémie, très recherchés. Depuis les nombreux confinements, les particuliers veulent un meilleur cadre de vie et donnent une place privilégiée à leur habitation. Avec des critères de sélection plus précis, les acquéreurs ont vu leurs exigences se modifier donnant ainsi plus d’importance à un environnement extérieur qu’à un agencement facilement modifiable par des travaux. Le calme, la tranquillité, la luminosité et la vue sont des éléments devenus essentiels !
A l’heure où le télétravail est devenu incontournable, les biens exigus, sombres, avec un fort vis-à-vis perdent de leur charme et les acquéreurs privilégient la proche périphérie comme notamment les Hauts-de-Seine lors de leur recherche immobilière. Cédric Jullien, co-fondateur du réseau l’immobilier sans vis-à-vis, en témoigne : « Depuis mars 2019, impactés par la crise sanitaire, les biens immobiliers sans vis-à-vis connaissent un fort regain d’intérêt car ils permettent de vivre dans de meilleures conditions le télétravail dans un espace restreint.
Vivre sans rideaux à l’abri des regards indiscrets et profiter du soleil de chez soi fait partie d’un style de vie de plus en plus recherché ! » Le confort visuel est une dimension qui a toujours existé dans le secteur immobilier ! En son temps, le Baron Haussmann l’avait bien compris et avait créé pour des raisons de salubrité et de luminosité ses boulevards avec des distances de 40 mètres de chaque côté.
En 1859, il fit rédiger un règlement fixant les dimensions maximales acceptables des immeubles. C’est notamment grâce à cette réflexion menée par Georges Eugène Haussmann, que Paris est considérée comme la plus belle ville du monde ! L’immobilier sans vis-à-vis a décidé de se concentrer sur cette notion de confort visuel, mise de côté lors de l’urbanisme des territoires, pour répondre à une forte demande des particuliers.